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15 avril 2009 3 15 /04 /avril /2009 14:18

À ce que nous constatons, la montée du créationnisme soulève le même type de réactions qu'aux États-Unis, c'est-à-dire censure, mépris et dénaturation de propos. Pourquoi est-ce nécessaire si la science a tant prouvé que l'évolutionnisme est une vérité et que le créationnisme est insoutenable ? La science n'est pas un concours de popularité ni une guerre de crédibilité.

 

 

 

 

 

Le professeur Langlois, dans son article « La vigilance critique envers le créationnisme » (Le Devoir, 29 mars 2009), affirme de plusieurs façons que les créationnistes sont malhonnêtes et qu'ils concentrent leurs efforts à tromper les gens au profit de la foi. Pourtant, tous nos séminaires, conférences et articles sont axés sur la présentation de faits scientifiques qui ne sont pas contestés et qui sont en lien direct avec les prédictions du modèle créationniste. Par exemple, l'étude des plus petits organismes vivants sur Terre, les mycoplasmes, qui affichent une complexité supérieure aux ordinateurs modernes. Aussi, la forte discontinuité du registre fossile entre les groupes majeurs de vie confirme directement l'idée que ceux-ci sont apparus distinctement et soudainement : un caractère propre au scénario de la Création.

 

Pour finir, pourquoi les militants anticréationnistes affirment-ils constamment que notre théorie n'est pas scientifique, mais sans jamais faire référence aux critères de scientificité ? Serait-ce du dogmatisme ? Ces critères ont été clairement définis et acceptés dans la communauté scientifique. Brièvement, une théorie est recevable sous deux conditions : elle doit pouvoir être réfutable, au moins en théorie, et offrir des prédictions qui peuvent être passées sous la loupe de la science. Il a été démontré que le créationnisme répond mieux aux critères de scientificité que l'évolutionnisme. Par exemple, notre prédiction sur le registre fossile est beaucoup mieux définie et amplement soutenue par les découvertes.

 

Selon un sondage, 60 % des Canadiens croient que Dieu a joué un rôle direct ou indirect dans la création des êtres humains (Décima, juillet 2007). Les propos du professeur Langlois et des militants féroces semblables laissent entendre qu'ils ne font pas confiance au jugement, à l'intelligence et à l'esprit critique des gens en voulant retrancher, par un tour de force que la science ne permet pas, une réponse possible à la question des origines.

 

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23 octobre 2008 4 23 /10 /octobre /2008 20:56

« La théorie de l'évolution est scientifique. Bien sûr elle est très incomplète, avec des zones d'ombres importantes. Comme plusieurs théories fondamentales sur l'univers et la nature. Mais ce n'est pas une théorie partisane et irréaliste. Ni un complot antichrétien. »

 

Il faut définir ce qu’est une théorie scientifique avant tout. Il y a plusieurs critères généralement acceptés, mais un en particulier est le critère de réfutabilité. C'est-à-dire qu’une théorie ne peut pas être validée par tout et son contraire sinon, le test scientifique devient inutile. Or, le test des fossiles est de loin le plus important en ce qui concerne les origines puisque le registre fossile est le seul témoin de l’histoire de la vie. Dans ce domaine et pour la théorie de l’évolution, il n’y a eu que des échecs au fil du temps (fraudes, reclassifications, preuves très fragmentaires, extrapolations, interprétations). Tellement, que Gould (évolutionniste fameux) a proposé une nouvelle version de la théorie qui affirme que l’évolution se fait trop vite entre certains groupes de vie et il est alors normal de voir un registre fossile discontinu à tous les niveaux. C’est donc dire que peu importe ce qu’on trouve dans le registre fossile (un semblant d’intermédiaire aussi bien qu’un trou béant) et bien on affirmera tout de même le lien évolutif entre les 2 formes de vie.

 

Force est d’admettre que la théorie de l’évolution est devenue fortement déficiente en ce qui a trait aux critères de scientificité. Darwin avait proposé une version beaucoup plus rigide et plus logique de la théorie de l’évolution, mais les fossiles ne l’ont jamais appuyé si ce n’est de quelques fossiles ici et là, fortement interprétés.

 

« l'âge de la terre et de l'univers (mais ce n'est que la question mineure de l'évolution géologique) (je ne comprends pas qu'on cherche à démolir cette idée au nom de la Bible, jusqu'à chercher des arguments pour prouver que la terre est jeune. Aucun argument de "terre jeune" ne tient la route, et c'est ridiculiser la Bible que de vouloir lui faire dire ce qu'elle ne dit pas) »

 

C’est l’inverse qui s’est produit au cours de l’histoire : on a toujours avancé un âge jeune à la Terre. Le point est que l’avènement des théories matérialistes (Big bang, abiogenèse et évolution) requiert beaucoup de temps. Au début on s’est contenté de dire que la Terre avait probablement quelques millions d’années, mais avec la découverte de la complexité infinie trouvée même chez les micro-organismes, on a rapidement requis des milliards d’années. Les « méthodes » utilisées, c'est-à-dire les méthodes radiométriques, sont complètement ajustables aux résultats souhaités. On peut même obtenir comme résultat qu’une lave récemment solidifiée à un âge de 5 millions d’années, ce qui est d’ailleurs commun.

 

Outre ces inconsistances flagrantes, rappelons que ces méthodes ne peuvent pas être calibrées puisque nous n’avons pas d’échantillon index (ex; avoir une roche dont l’âge de plusieurs millions d’années serait connu de façon absolue). Elles n’ont alors aucune crédibilité mathématique.

 

D’autre part, des indices géochronologiques indéniables montrent que la Terre est jeune (sans donner d’âge). Ces indices sont tout simplement issue de l’étude de phénomène de dégradation (telles la perte de force du champ magnétique ou l’érosion des continents). Les scientifiques mesurent annuellement les incréments de ces phénomènes et ils sont si importants que la Terre ne peut même pas avoir 1 seul petit million d’années!

 

Les évolutionnistes jonglent avec cette patate chaude en se repliant sur des « phénomènes » de réversion, totalement hypothétiques et inobservables puisqu’en théorie, ils se produiraient très lentement, imperceptiblement, sur des millions d’années.

 

Une autre preuve absolue est celle qui se base sur la présence de matériaux organiques contenant une haute teneur en carbone 14 (C14) et se trouvant pourtant dans des strates géologiques que l’on « date » (à cause de l’évolution) à des centaines de millions d’années. Le point ici est fort simple : le C14 se dégrade complètement en éléments stables après 100 000 ans. Donc, une strate contenant des matières organiques à haute teneur en C14 n’a pas encore 100 000 ans. Si elle avait plus de 100 000 ans, tous les éléments organiques qu’elle contient auraient eu le temps de dégrader leur C14 en éléments stables.

 

Encore une fois, les évolutionnistes n’ont pas manqué de tricoter une façon de contourner ce fait scientifique connu depuis plus de 30 ans après que des dizaines de milliers d’échantillons de toute sorte de matières organiques aient été répertoriés, testés et documentés par les revues spécialisées en radiométrie. On n’a énoncé le manque de précision des appareils de mesure ou la contamination des échantillons. Ces 2 points ont été réglés au cours du temps alors que les échantillons subissent de puissants tests d’acide et que les appareils de mesure sont devenus ultra sophistiqués. Résultat : les échantillons présentent les mêmes niveaux de C14.

 

Article à cet effet : La terre : milliers ou milliards d'années ?

 

« la parenté forte entre l'homme et l'animal, et le vivant en général. Si on admet la validité des ressemblances d'organisation et de fonction, le nombre de gênes ADN en commun, on ne peut qu'accepter que les plus proches parents de l'homme sont les primates. Darwin ne connaissait rien à l'ADN mais se basait uniquement sur les ressemblances, mais l'ADN est une preuve claire de la parenté. »

 

Une ressemblance, ce n’est pas un critère scientifiquement recevable. C’est un critère subjectif qui peut s’expliquer par l’évolution ou par la création, mais cela n’a jamais été un argument. Le créateur a « inventé » l’ADN et l’a utilisé pour le monde vivant en entier. Logique non ? De la même façon, un concepteur de programmes ne change pas de langage de programmation à chaque nouvelle conception.

 

« Les mutations naturelles restent toutefois l'une des seules hypothèses scientifiquement crédibles. »

 

Personne n’a jamais été capable d’en apporter la moindre preuve crédible, si ce n’est de quelques cas de mutations chez les bactéries qui leur confèrent la chance de survivre en échange d’un handicap (ex : perte partielle d’affinité d’une enzyme ciblée par l’antibiotique).

 

Cela dit, imaginez que la création ait été faite pour qu'elle évolue naturellement vers l'apparition de la vie, et finalement celle de l'homme ? Génial, l'inventeur !

Seul Dieu est capable d'une telle prouesse... Et en plus de par sa simple parole (il suffit qu'il dise, et la chose se fait), si j'en crois la Bible...Et quand tout est prêt, Dieu met sa touche finale, particulière,... Pourquoi pas ? Je pense que cette conception serait tout à fait biblique et laisserait la science libre de découvrir les mécanismes de cette création, sans interférer nullement avec la foi.

 

Non, cette interprétation est de toute évidence sans aucun lien avec la Bible. Montrez-moi un passage qui laisserait entendre que Dieu a laissé le jeu du hasard des mutations faire le travail à sa place ?? La création est merveilleuse à ce point pour qu’on Lui rendre gloire en constatant sa beauté et ingéniosité infinie. Aucun ingénieur humain n’est assez stupide pour laisser des matériaux inertes se rencontrer aléatoirement et se combiner aléatoirement.

 

Je vous laisse sur cette citation de Nature qui concerne justement la conception des systèmes complexes. Quand on sait que la bactérie la moins complexe sur Terre (Mycoplasma Genitalium avec ses 500 gènes) est plus complexe qu’un ordinateur moderne, on comprend que cette citation en dit long sur l’origine de la complexité :

 

« L’ingénierie ne consiste pas à laisser les systèmes exister. Il s’agit plutôt de faire bouger les choses, de convergence, de création optimale et d’uniformité de fonctionnement. L’ingénierie consiste à assembler des pièces qui fonctionnent de façons précises, c’est-à-dire de concevoir des systèmes complexes. »

 

J.M. Ottino, “Engineering complex systems,” Nature 427, 399 (29 janvier 2004); doi:10.1038/427399a

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27 mars 2008 4 27 /03 /mars /2008 21:36

flagellum-copie-1Affirmation typique des évolutionnistes : "mais la démarche des créationnistes n'est en tous cas pas plus crédible puisqu'elle fait largement appel à des mécanismes, des explications et des conclusions tout aussi invérifiables et arbitraires."

 

Réponse : Le créationnisme suppose que les complexités biologiques et l'information génétique sous jacente sont l'effet d'une cause intelligente, externe à la matière. C'est le postulat stricte du créationnisme à travers le temps et les diverses variantes du créationnisme.

  

Ci-haut, la structure du flagelle bactérien. Bien que la bactérie soit l'organisme le moins complexe qui soit, sa structure locomotrice, le flagelle, affiche une complexité et une efficacité hors du commun. Le journal scientifique Nature stipule à ce sujet :

  

« Ça fonctionne comme une pile, bouge comme une hélice de bateau, possède un engrenage réversible afin de pouvoir tourner dans les deux sens et c’est sous le contrôle de l’information de l’environnement. Ceux ci sont des fonctions biologiques dans leur forme la plus simplifiée et déjà il y a 60 différents types de composants dans ce petit moteur. » 

 

 

Nature Science Update : Acid stops bacteria swimming (février 2003)

 

 

Théorie créationniste

 

Ce mécanisme (une cause intelligente qui créé un système complexe, organisé et opérant une fonction) est parfaitement observable. Les conceptions humaines suivent ce modèle. L'intelligence peut conceptualiser et organiser la matière pour la faire atteindre des niveaux de complexité élevés. D'autre part, toutes les observations à ce jour démontrent que la matière laissée à elle-même se détériore plutôt que de se complexifier.

Bien que les évolutionnistes aient tenté de contredire cette règle par des exemples tels la glace, les flocons de neige ou les cristaux qui se forment spontanément, notez que ces structures montrent un arrangement atomique "ordonné" ce qui ne répond nullement à la définition d'une complexité. Voir l'article à ce sujet : http://lifeorigin.over-blog.net/article-6594660.html 

En fait, la complexité et l'organisation possèdent une définition propre en science : ce sont des systèmes à interactions non linéaires. Dans le débat des origines, un critère additionnel survient : ces systèmes opèrent des fonctions.


Le mécanisme ne doit pas être confondu avec l'évènement. Je ne peux montrer Dieu en train de créer de même que les évolutionnistes ne peuvent montrer 40 millions d'années d'évolution dans une éprouvette.

On peut par contre vérifier si les prédictions ou répercussions d'un modèle ou de l'autre sont observées dans le monde réel. Si Dieu a créé les différentes formes de vie originelles, on s'attend à les voir arriver assez soudainement et conjointement dans la séquence des fossiles. Dans le cas de l'évolution, on s'attendrait à les voir arriver très graduellement et les unes après les autres, plutôt que les unes et les autres dans les mêmes strates géologiques.


Or, la très grande majorité des plans corporels du monde vivant (les phylums) sont apparues dans la même strate géologique, celle dite du Cambrien. C'est l'évènement paléontologique le plus documenté et le plus certain. On nomme cet évènement «  EXPLOSION cambrienne ».

En fait, ce n'est pas seulement les strates dites du Cambrien qui affichent une telle apparition brusque et discontinue, mais tout le registre fossile. Gould disait à ce sujet :

 

« L'extrême rareté des formes de transition est le secret de fabrique de la paléontologie... L'historique de la plupart des espèces fossiles comprend deux caractéristiques allant à l'encontre du gradualisme :

 

1. La fixité. La plupart des espèces ne démontrent aucun changement de direction tout au long de leur durée sur terre. Dans le registre fossile, leur apparence est à peu près la même à leur disparition; les changements morphologiques sont habituellement limités et sans direction.

 

2. L'apparition soudaine. Peu importe la zone locale, les espèces n'apparaissent pas graduellement, à la suite de la transformation constante de leurs ancêtres; elles apparaissent plutôt tout d'un coup et « complètement formées »

 

S.J. Gould; Natural History 86:14 (1977)


« On croyait que la paléontologie allait nous donner la capacité de « voir » l'évolution. Elle a plutôt mis en évidence de sérieuses difficultés... La plus connue serait la présence de « trous » dans le registre fossile. L'évolution exige des formes intermédiaires et la paléontologie ne les fournit point. » [emphase ajoutée]

 

David Kitts, Evolution 28:467, 1974.

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27 novembre 2007 2 27 /11 /novembre /2007 15:32

« Est-ce que Dieu peut faire partie du processus de l'évolution ? Si je crois en Dieu, puis-je croire aussi en l'évolution ? »

 

Non, Dieu ne fait aucunement "partie du processus de l'évolution". Ce « processus » fait intervenir le hasard des mutations génétiques ce qui correspond précisément à nier une intervention dirigée. L’évolution a été promue dans une époque de révolution contre Dieu par des adeptes de l’humanisme. Je ne vois pas comment combiner la philosophie de l’évolution avec la théorie créationniste.

 

Toute cette confusion provient du fait que le terme "évolution" est rarement défini par ses adeptes ; en conservant une latitude, ils ne s'exposent pas à devoir répondre à des questions précises et souvent, on réalise que les évolutionnistes parlent seulement de sélection naturelle. Celle-ci n’explique rien de plus que la disparition de certains caractères (disparition du caractère « poil court » au profit de « poil long » dans un écosystème qui se refroidit).

 

L'évolution devrait être en mesure d'expliquer l'origine des organes, des structures morphologiques, en bref, l'origine des gènes. Cette théorie a complètement échoué à ce niveau, aucun exemple d'évolution n'a jamais été fourni qui montrerait une telle apparition.

 

Ceci dit, la sélection naturelle existe bien et la variété génétique aussi. Je ne crois pas que Dieu ait créé toutes les espèces de la famille des canidés. Je crois qu'une ou quelques formes originales ont été créées. Ensuite, des variations de grandeur, couleur, poils, etc ... peuvent se produire sans intervention de Dieu. Le point principal à retenir est qu'en aucun cas, une variation de la longueur du poil n'entraîne un changement de fonction de celui-ci, ni l'apparition d'un nouvel organe. Autrement dit, la génétique d'un chiwawa ne montre pas plus ou moins de gènes que celle d'un doberman. Ces variations qui ont pu émerger sans intervention intelligente n'expliquent absolument rien sur l'origine des chiens, l'origine des pattes, des yeux, des plumes d'oiseau, du cerveau ... des questions qui pourtant sont au centre de la question des origines.

 

 

Donc, pour clarifier le débat, on devrait parler de l'origine des formes de vies* originales au lieu de l'origine des espèces. Pour être encore plus claire, on pourrait poser le problème comme l'origine des caractères morphologiques. Comment les yeux sont-ils apparus ? Par création ou évolution ? Les nageoires ? Le cerveau ?

 

 

*Elles se situeraient au niveau "ordre" ou "famille" dans la classification taxonomique.

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18 juin 2007 1 18 /06 /juin /2007 14:57

EyeAnatomyBien que l’œil humain n’offre pas la meilleure vision parmi les vertébrés, l’imagerie de 120 méga pixels qu’il produit défie tout de même n’importe qu’elle technologie actuelle. Depuis l'époque de Darwin, les évolutionnistes tentent de démontrer que des structures anatomiques seraient sous optimales, inefficaces ou même inutiles et donc qu’elles n’ont pas été créées.

 

Au début des années 1900, on avait répertorié chez l’humain une centaine d’organes dits " vestiges de l’évolution ". Essentiellement, il s’agissait de structures qui, à première vue, semblaient presque inutiles. Aujourd’hui, l’avancement de la science a démontré que chacune de ces structures anatomiques avait une fonction particulière et fortement utile. La leçon à retenir est que l’ignorance concernant le fonctionnement d’une structure biologique particulière ne devrait pas être transposée en absence de fonction.

 

L’œil de l’humain comporte justement des particularités qui étaient autrefois intrigantes vu la limitation de la science. Par exemple, les nerfs passent devant la rétine au lieu de passer par derrière. Ceci a été immédiatement récupéré par les évolutionnistes comme preuve que l’œil n’a pas été créé. On nous dit que les nerfs auraient été placés derrière la rétine si un concepteur intelligent était à l’origine de l’œil.

   

Technologie versus biologie

 

Votre œil offre une résolution de 120 millions de pixels (ou 120 méga pixels). Une multitude d’ordinateurs sont nécessaires pour atteindre une imagerie vidéo qui pourrait tout au plus s’approcher de ce niveau de résolution. Dernièrement, les scientifiques du Sandia National Laboratories ont établi un réseau de 64 puissants ordinateurs qui prend quelques secondes pour rendre une imagerie vidéo qui atteint une résolution de 20 méga pixels. Le travail de l’œil et du cerveau ne prend qu’une fraction de seconde pour rendre les images.

 

Il y a près de 400 000 "sensors" par millimètre carré de rétine.

 

L’œil peut détecter un unique photon de lumière ce qui représente la limite ultime de sensibilité.

 

L’œil possède un champ dynamique de 10 milliards pour 1. Les films photographiques modernes ont un champ dynamique de 1000 pour 1.

 

Il y aurait des pages à remplir simplement pour résumer les multiples capacités de l’œil (détection des profondeurs et contours, différenciation des couleurs, 3D, ajustement en fonction de la distance, etc).

 

Ces constats de la biologie écrasent sans pitié l’affirmation que l’œil des vertébrés est mal conçu. Les évolutionnistes se heurtent encore à l’avancement de la science qui, de toute évidence, sert la théorie créationniste encore et encore.

 

 

L’œil est-il branché à l’envers ?

 

Habituellement, le discours évolutionniste passe outre les fabuleuses capacités de l’œil mises à jour par la science. Les évolutionnistes sont restés figés à l’état des connaissances scientifiques tel qu’il était il y a 30 ans. Ils continuent d’affirmer que les nerfs passeraient derrière la rétine si l’œil avait été conçu par un créateur intelligent.

 

Le premier problème qui apparaît avec cet argument est que les céphalopodes ont un nerf optique qui passe derrière la rétine. Puis-je conclure que les évolutionnistes admettraient alors que l’œil des céphalopodes a une origine par création intelligente, mais pas celui des vertébrés ? Notons que l’œil des céphalopodes est très différent de l’œil des vertébrés : plus simple, moins efficace et conçu pour un contexte différent.

 

La section suivante démontre que les évolutionnistes s’accrochent à un faux problème.

  

 

L’avancement de la science

 

Aujourd’hui on comprend mieux les besoins de l’œil des vertébrés. La rétine transpose l’énergie lumineuse en signal électrique. Avant de transmettre l’information aux nerfs puis au cerveau, les cellules rétiniennes doivent d’abord être alimentées par un flux d’énergie très important. Ces cellules ont l’un des métabolismes les plus élevés dans le corps humain. Il est donc nécessaire que l’espace derrière l’œil soit réservé à la choroïde qui apporte une l’affluence de sang continue qui est vitale à la fonction visuelle. Il y a donc des raisons d’efficacité pour que les nerfs passent devant les photorécepteurs.

 

Les nerfs transmetteur d’information peuvent passer par devant de la rétine sans causer de problème. Les évolutionnistes veulent mentionner à ce point-ci que le passage par devant rend la vue sous optimale comme si les nerfs empêchaient la lumière de bien se rendre à la rétine. Quelques notes à retenir à ce sujet :

 

1 – La tâche aveugle causée par le nerf qui passe devant occupe seulement 1 quart de 1% du champ visuel et le nerf, contrairement à la choroïde, est quasi transparent, il a un indice réfractaire quasi identique à l’humeur aqueuse. La choroïde ne pourrait pas, elle, passer devant, car le sang trop opaque engendrerait une vue comme dans un œil en hémorragie.

2 – Dr George Marshall, ophtalmologiste : " l’idée que l’œil des vertébrés sont " branché à l’envers " provient d’un manque de connaissance sur la fonction de l’œil et son anatomie " ;

3 – Dr John Stevens, spécialiste en ingénierie biomédicale affirme que " cela prendrait 100 années de traitement par un superordinateur pour simuler ce qui prend place dans votre œil chaque seconde. " Byte, avril 1985

 

4 - Il est nécessaire que la choroïde passe par derrière pour apporter l’affluence sanguine nécessaire pour le très haut taux métabolique des cellules photoréceptrices et pour absorber la chaleur.

   

 

Conclusion

 

La leçon est encore la même : les découvertes scientifiques balayent les théories qui exploitent l’ignorance. Le présent exemple est l’hypothèse des « organes vestiges » ou organes « sous optimaux » que les évolutionnistes continuent de soutenir pour attaquer la théorie créationniste. Mais la réalité est que la science nous livre la vérité au compte-gouttes; en d’autres mots, elle est limitée par la capacité des instruments d’observation ou encore des budgets.

 

Il faut alors avoir l’esprit ouvert et tirer des leçons des expériences passées : celles-ci démontrent que les organes ont tous raison d’être et que leurs structures produisent des niveaux d’optimisation qui sont bien au-delà des équivalents conçus par l’humain.

 

S.R. Scadding du département de zoologie de l’Université de Guelph affirmait :

 

« Au fur et à mesure de l'augmentation de nos connaissances, la liste des structures vestigiales a diminué. Wiedersheim pouvait en répertorier environ 100 chez l’humain, les auteurs récents en décrivent habituellement 4 ou 5. Même cette courte liste de structures vestigiales chez l’humain est questionnable. Anatomiquement, l’appendice démontre des évidences de fonction lymphatique … »

 

« Le coccyx sert de point d’attachement à plusieurs muscles et ligaments incluant le gluteus maximus. Le pli semilunar de l’œil participe dans le nettoyage et la lubrification du globe oculaire. »

 

 

Scadding, S. R., «Do ‘Vestigial Organs’ Provide Evidence for Evolution?» Evolutionary Theory, vol. 5 (mai 1981), pp. 173-176. Scadding was in the Zoology Department, at the University of Guelph .

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16 janvier 2007 2 16 /01 /janvier /2007 15:35

 

Les indices de la géochronologie

 

 

Les effets de l’érosion des côtes sont mesurables annuellement. On sait très bien que ce taux est relativement substantiel et que la Terre ne peut pas être plus vieille que quelques millions d’années. Avancer un chiffre qui dépasserait cette limite est un non sens absolu.

 

 

Le champ magnétique se dégrade à une vitesse telle que les incréments sont mesurables annuellement (on les mesure depuis 150 ans). Le même raisonnement s’applique ; si la terre était vieille de millions d’années, le champ magnétique, dans le passé, aurait dû être si fort que le noyau terrestre n’aurait pas été cohérent. Le résultat : 20 000 ans maximum selon les données les plus récentes.

 

La présence du carbone 14.

 

Ce qui m’apparaît encore plus solide est la présence de carbone 14 dans la matière organique qui se trouve dans toutes les strates géologiques. Après 115 000 ans (passés la mort de l’organisme vivant) le C14 est complètement dégradé DONC, une strate qui contient du C14 est âgée d’au maximum 115 000 ans.

 

La détection du C14 est documentée depuis 30 ans dans des revues comme Radiocarbon et qualifiée d’« anomalie » !! Au départ la contamination et l’imprécision des appareils a été supposée MAIS jamais la possibilité que ce C14 soit intrinsèque à l’échantillon et qu’alors les strates de 300 millions d’années où l’on trouve ces échantillons n’aient finalement que 10, 20 ou 30 milles ans.

 

Notez que cette méthode peut être calibrée puisque la demi-vie du C14 est « accessible » au cadre de temps observationnel et l’archéologie peut démontrer un certain niveau de confiance dans cette demi-vie. C'est-à-dire que des objets dont la date historique est connue peuvent être utilisés pour vérifier le bon fonctionnement de la méthode.

 

Aujourd’hui l’appareil de mesure utilisé (AMS : Accelerator Mass Spectrometry System)  a atteint un niveau exceptionnel de précision et les échantillons testés subissent plusieurs tests d’acide pour enlever toute contamination et rien n’a changé. Les quantités de C14 demeurent substantielles. On parle de 15 000 échantillons documentés dans les dernières décennies.  Pensez-y : le chiffre avancé de 4,3 milliards d’années ne repose que sur une mesure d’une unique crystal (avec la méthode uranium-plomb qui n’offre pas la possibilité d’être calibrée. 

 

Quelques références :

 

Radiocarbon Dating with the University of Washington Accelerator Mass Spectrometry System, Radiocarbon, 28(1986), pp. 237-245.

 

AMS Sample Handling in Groningen, Nuclear Instruments and Methods in Physics Research B, 123(1997), pp. 221-225.

 

14C Results for Archaeological and Forensic Studies at the Vienna Environmental Research Accelerator, Radiocarbon, 40(1998), pp. 273-281.

 

En fait, il y  47 références dans l’article écrit par 4 scientifiques (Ph. D) sur le sujet :

http://globalflood.org/papers/2003ICCc14.html

 

 Du côté évolutionniste

Aucune mesure ne se rapporte directement à l’âge de la Terre. Tout au plus les évolutionnistes tentent de datée des cristaux et le plus vieux des cristaux donnerait alors l’âge de la terre (pour le moment 4,3 milliards d’années). Ce qui est rigolo est que ces mêmes chercheurs trouvent des roches sont les datations radiométriques leur donnent 10 milliards d’années !! Pas très loin de l’âge supposé de l’Univers. Ils rejettent ces données mais conservent celles qui donnent 4.3 milliards ou moins. C’est du « data fudging ».

L'Europe rongée par la mer          

Le rapport du projet Eurosion

« Les côtes européennes sont érodées par la mer de façon inquiétante : un cinquième du littoral est déjà atteint. Les côtes reculent de 0,5 à deux mètres par an, voire 15 mètres dans les pires des cas. »

Cyberscience (20 mai 2004)

 

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16 janvier 2007 2 16 /01 /janvier /2007 15:27

Question : Concernant l’argument créationniste de discontinuité,  qu'entendez-vous par "discontinuité du vivant" , "discontinuité du monde fossile"

 

 

C’est qu’il y a un grand nombre de différences anatomiques (ou fonctions biologiques) entre les groupes majeurs d’animaux, comme s’ils étaient non-apparentés au niveau de l’origine. (ça n’empêche pas qu’il puisse y avoir aussi des ressemblances).

 

 

Un exemple est celui des cellules procaryotes (ex : bactéries) et des eucaryotes (ex : levure, cellules végétales). Le monde vivant est séparé par ces deux distinctions. Les différences entre les groupes sont si vastes que certains évolutionnistes avancent le chiffre de 1 milliard d’années pour évoluer d’un procaryote vers les eucaryotes.

 

 

Une liste de quelques différences ;

 

Cytosqulette ;

 

Membranes internes (compartiments) ;

 

Compartimentation de la production d’énergie ;

 

Mécanisme de transport intra-cellulaire très complexe ; 

 

Digestion intra-cellulaire ;

 

Golgi ;

 

Réticulum endoplasmique ;

 

Noyau (et son cytosquelette interne) ;

 

Mitochondries et plastides ;

 

Endocytose, Exocytose ;

 

Mille fois « plus » d’ADN chez l’eucaryote ;

 

Composition de la membrane ;

 

Taille et composition des ribosomes.

 

 

Il n’existe aucune transition vivante ou fossile du passage des procaryotes vers les eucaryotes. Un esprit rationnel conclurait que, sur base purement factuelle et scientifique, ces deux groupes ont une origine distincte. La prédiction d’origine distincte des groupes majeurs de vie est propre au créationnisme et complètement contraire à l’évolutionnisme.

 

 

Je cite Christian De Duve, un expert de la question mais qui demeure avec la vision évolutionniste même s’il n’y a aucune transition :

 

« Les cellules eucaryotes proviennent sans doute de cellules procaryotes ancestrales, mais on ignore comment s’est fait le passage, car aucun intermédiaire de cette transition n’a survécu ni laissé de fossiles, témoins directs. On ne peut qu’observer le produit final eucaryote, totalement différent de n’importe qu’elle cellule procaryote. »

 

Pour la science (Juin 1996) p.92.

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15 janvier 2007 1 15 /01 /janvier /2007 21:47

Cet article présente brièvement quelques arguments scientifiques qui appuient la théorie de la création. Contrairement aux arguments évolutionnistes qui souffrent terriblement de manque de crédibilité (fragments de fossile, fraudes, vieux îcones recyclés, manque de mise à jour, abus de confusion du terme "évolution"), les arguments qui suivent sont issues de grandes certitudes scientifiques. 

 

L'ensemble minimal de gènes pour opérer une cellule

 

 

DNA3Le génome minimal prouve que la vie est apparue par création intelligente. Les études récentes à ce sujet ont été réalisées sur les mycoplasmes qui sont des bactéries et aussi les êtres vivants ayant le plus petit ADN. Par exemple, Mycoplasma Genitalium a un ADN contenant environ 500 gènes.

 

Les recherches ont démontré que, dans les conditions les plus idéales, un minimum d'environ 250 gènes sont absolument vitaux au fonctionnement de base d'une cellule à ADN. C'est ce qu'on a nommé le concept du génome minimal. Ces gènes ont une longueur moyenne de 1 000 bases, comme un programme informatique qui contiendrait 1 000 caractères. Chaque gène contient des instructions précises pour la construction et la régularisation des biomolécules de la cellule. 

 

C'est donc dire que la cellule, dans sa forme la moins complexe imaginable, contient au minimum l'information contenu dans un livre de 250 pages où chaque page contiendrait 1 000 caractères.

 

Comment un tel livre d'instruction pourrait-il apparaître ? Par un brassage aléatoire de 250 000 pièces de Scrabble produisant 1 000 pages de caractères respectant "l'orthographe et la grammaire génétique" ? Chaque instruction étant coordonnées et cohérentes avec les 249 autres instructions ? Des analyses de probabilités ont montré que même si tous les atomes de l'univers étaient une de ces pièces de Scrabble et que le brassage aléatoire se produisait pendant 14 milliards d'années, pas une seule page sur les 250 serait produite.    

 

 

Ce niveau de complexité extrême est envisageable dans un contexte de création intelligente mais, complètement improbable dans un contexte "évolutionniste" où avant que la première cellule apparaisse, il n'y avait qu'un brassage aléatoire (hypothétique) d'éléments organiques (en d'autres mots, on ne peut pas invoquer la sélection naturelle à ce stade).  


Les symbioses
démontrent que les différentes espèces vivantes sont apparues de façon assez simultanée (tel que le prédit la théorie de la création) dans le temps puisque de telles espèces affiliées ne se reproduisent pas en l’absence de l’autre. L'apparition simultannée des différentes formes de vie est une prédiction qui appartient à la théorie créationniste.

(ex : symbiose charançon et le palmier nain, la pollinisation des plantes angiospermes, la termite avec 4 autres espèces, les bactéries et les fourmis, bref … il y en a des millions d’exemples)

Mentionnons, à titre d'exemple, que la disparition de la "fournie soldat" en Europe pourrait entraîné la disparition de 100 espèces vivantes et que la menace de la disparition des abeilles butineuses eu Europe pourrait se traduire éventuellement en problème majeur pour la survie de l'humain lui-même. Ces faits sont le reflet d'un constat majeur de la biologie : les espèces vivantes vivent en étroite relation les unes avec les autres. La survie des différentes espèces et l'équlibre des écosystèmes est similaire au fragile équilibre d'un chateau de cartes. 

La discontinuité du monde vivant
démontre que les groupes d’animaux sont apparus de façon distincte/séparément, non reliés par un ancêtre commun, et ceci cadre précisément avec la description de la création biblique (Dieu créa tel groupe d’animaux, ensuite l’autre ….).

(ex : discontinuité entre cellule procaryote et eucaryote, vertébrés / invertébré, mammifères terrestre / mammifères aquatiques, cellule animal / cellule végétale …..)

L'exemple des cellules eucaryotes et des cellules procaryotes est particulièrement intéressant. Les cellules eucaryotes (comme les cellules de qui vous constituent) sont 10 000 fois plus volumineuses que les cellules procaryotes (les bactéries). Les eucaryotes ont leurs molécules d'ADN organisées différemment et stockées dans un noyau. Elles possèdent des organites intracellulaires très complexes qu'aucun type de bactérie possèdent. Il y a plus d'une dizaine de différences fondamentales entre ces 2 types de cellule et pourtant, il n'existe aucun intermédiaire entre les 2 (selon les experts). Leur origine est donc distincte, comme un créateur intelligent peut inventer une voiture et un ordinateur distinctement.

Dans un contexte évolutionniste, les bactéries, beaucoup moins complexes, "se sont complexifiées" (désolé pour le language hautement irrationnel et anti-scientifique) pour "donner naissance" à des cellules eucaryotes éventuellement, mais n'ont laissé aucune espèce intermédiaire survivre.

 


 

La discontinuité du monde fossile démontre que les groupes d’animaux sont apparus de façon distincte/séparément. Cette preuve ultime ne peut plus être repoussée. Les découvertes paléontologiques se sont tellement accumulées qu’il est temps pour les évolutionnistes de se mettre d’accord avec ce que la science dit. Quelques évolutionnistes l’ont fait*. Mais au lieu d’admettre que cela est une vérification de la plus grande prédiction de la théorie créationniste ils ont transformé la théorie de l’évolution pour qu’elle prédise la même chose que la création !! Ils diront maintenant que l’évolution se fait tellement vite entre deux espèces qu’elle ne laisse pas de trace fossile !

 

* « L’extrême rareté des formes de transition est le secret de fabrique de la paléontologie... L’historique de la plupart des espèces fossiles comprend deux caractéristiques allant à l’encontre du gradualisme :

1. La fixité. La plupart des espèces ne démontrent aucun changement de direction tout au long de leur durée sur terre. Dans le registre fossile, leur apparence est à peu près la même à leur disparition; les changements morphologiques sont habituellement limités et sans direction.

2. L’apparition soudaine. Peu importe la zone locale, les espèces n’apparaissent pas graduellement, à la suite de la transformation constante de leurs ancêtres; elles apparaissent plutôt tout d’un coup et « complètement formées »

S.J. Gould; Natural History 86:14 (1977)  



On pourrait encore parler des complexités irréductibles dans la Nature (qui sont une règle dans le vivant plus qu’une exception), de la réplication de l’ADN, la synthèse des protéines, le principe de causalité, la théorie de l’information, les lois de thermodynamiques, l’étude des systèmes complexes, …..


Pour conclure, vous avez ici des arguments réels qui se basent non pas sur ce que des scientifiques « avancent » mais plutôt sur ce que des scientifiques ont DÉCOUVERT CONCRÈTEMENT.

 

L’évolution, pour sa part, est une religion qui se cache derrière une apparence de scientificité. Elle a toujours été promue par des fraudes (Piltdown Man, 1910-1945 environ, embryons de Haeckel, 1885 à aujourd’hui, les fossiles de dino-plumés fabriqués de toutes pièces, ….) ou des « preuves » très fragmentaires (Lucy, le fossile le plus complet, n’est qu’un fossile de singe, Nebraska Man, une dent de porc, Homme du millénaire, quelques fragments de tibia et de crâne, ….).

Mais en aucun cas des preuves appuyées par des grandes branches de la biologie (tel que toutes celles mentionnées ci haut pour la création) ne sont venues supporter la théorie et ce malgré un lobbying monstrueux de la part des religieux évolutionnistes, des médias qui ne se questionnent pas le moindrement sur la provenance ou les appuis réels des « arguments » qu’ils présentent, les revues scientifiques qui refusent l’accès aux théories alternatives à l’évolution (contrairement à ce que la méthode scientifique prescrit) assurant ainsi l’endoctrinement le plus complet et l’illusion que tout le monde « d’intelligent » n'adhère pas à la théorie créationniste, ce qui est profondément faux.

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